Experiences of general practitioners in the Ga-Rankuwa and Mabopane areas in dealing with patients who have sexual problems

African Journal of Primary Health Care & Family Medicine

 
 
Field Value
 
Title Experiences of general practitioners in the Ga-Rankuwa and Mabopane areas in dealing with patients who have sexual problems Expériences des médecins généralistes dans les districts de Ga-Rankuwa et de Mabopane dans leurs rapports avec les patients qui ont des problèmes sexuels
 
Creator Mills, Benjamin Govender, Indiran Hugo, Jannie
 
Subject — — — —
Description Background: Sexual problems are common. Many patients with sexual health dysfunction use self-help literature or are often managed in general practice. However, many general practitioners (GPs) find it difficult to discuss sexual health issues because they feel uncomfortable with this and lack training in these matters. These GPs are now referring patients with sexual dysfunction to specialists.Aim: We sought to explore how GPs working in the Mabopane and Ga-Rankuwa areas of handle sexual problems of their patients.Setting: The setting was the Mabopane and Ga-Rankuwa areas of North-West Tshwane, in Gauteng Province.Methods: A qualitative study comprising eight free attitude interviews with purposefully selected four male and four female GPs. All interviews were conducted in English and tape-recorded. Field notes in the form of a detailed diary was kept. The tapes were transcribed verbatim, and the transcriptions were checked against the tapes for omissions and inaccuracies.Results: Six themes emerged from the interviews: causes of sexual problems; presentation of sexual problems to the doctor; management of sexual health problems; sex is a taboo topic; society’s need for sexual health discussions, and these discussions have already begun; previous limited exposure and training, and a need for more sexual health training.Conclusion: This study confirms earlier findings that patients could be either reluctant to discuss their problems or are open about them when presenting to doctors with sexual dysfunction. GPs were not exposed to sexual health training at medical school and, because of this shortcoming, felt that training in sexual medicine should be part of the curriculum. Contexte: Les problèmes sexuels sont courants. Beaucoup de patients souffrant de troubles sexuels utilisent des documents d’auto-thérapie ou sont souvent traités chez des généralistes. Cependant, de nombreux médecins généralistes (MG) ont du mal à discuter des problèmes de santé sexuelle car ils ne se sentent pas à l’aise pour parler de cela et n’ont pas eu de formation dans ce domaine. Ces MG envoient maintenant les patients ayant des troubles sexuels à des spécialistes.Objectif: Nous avons essayé de déterminer comment les MG des districts de Mabopane et de Ga-Rankuwa gèrent les problèmes sexuels de leurs patients.Lieu: Les districts de Mabopane et de Ga-Rankuwa au Nord-Ouest de Tshwane, dans la province de Gauteng.Méthodes: Une étude qualitative comprenant huit entretiens libres avec quatre hommes et quatre femmes médecins délibérément choisis. Tous les entretiens se sont déroulés en anglais et ont été enregistrés. Des notes ont été prises sur le terrain sous forme de journal détaillé. Les bandes enregistrées ont été transcrites textuellement, et les transcriptions ont été contrôlées avec les bandes pour relever les omissions et les erreurs.Résultats: Six thèmes sont apparus dans ces entretiens : les causes des troubles sexuels ; la présentation des problèmes sexuels au médecin; la gestion des problèmes de santé sexuelle; le sexe est un sujet tabou; la nécessité d’avoir des discussions sur la santé sexuelle dans la société et, ces discussions ont déjà commencé; exposition et formation préalables limitées, et nécessité d’avoir plus de formation en matière de santé sexuelle.Conclusion: Cette étude confirme les résultats précédents que les patients sont soit réticents de discuter de leurs problèmes, soit en parlent librement quand ils vont chez le médecin avec des troubles sexuels. Les médecins n’ont pas eu de formation à la faculté de médecine en matière de santé sexuelle et, en raison de cette lacune, ils pensent que la médecine sexuelle devrait faire partie du programme de formation.
 
Publisher AOSIS
 
Contributor — —
Date 2015-12-09
 
Type info:eu-repo/semantics/article info:eu-repo/semantics/publishedVersion — — —
Format text/html application/octet-stream text/xml application/pdf
Identifier 10.4102/phcfm.v7i1.878
 
Source African Journal of Primary Health Care & Family Medicine; Vol 7, No 1 (2015); 8 pages 2071-2936 2071-2928
 
Language eng
 
Relation
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Coverage — — — — — —
Rights Copyright (c) 2015 Benjamin Mills, Indiran Govender, Jannie Hugo https://creativecommons.org/licenses/by/4.0
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